Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.

Un petit air pas très loin du diable

Un petit air pas très loin du diable

Bernard Pellegrin

Nouvelles

prix :

$23.00

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Nombre de pages :

200

Format :

133 x 203 mm

ISBN :

978-2-85071-292-0

epub :

978-2-85071-293-7

mobi/awz3 :

978-2-85071-293-7

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Dans la vie, il n’est pas rare d’entendre au fond de l’oreille un petit air venu de loin sans qu’on sache d’où. Dans ce recueil, il n’est guère éloigné du diable et de ses manigances. Ainsi, quand Didier croise Mick Jagger et les frères Grimm sous les auspices de Stephen King. Ou quand Fadi, prisonnier de son scaphandre, tombe amoureux de Meryl sur la toile. Sans oublier Mounir et Jean-Patrick, jumeaux diaboliquement semblables. Ou encore cette sécheresse épouvantable qui nous étreint et que seule la musique est capable d’interrompre, et Bertrand qui voudrait voir son écrivain albanais préféré obtenir le Nobel. Le petit air s’entend jusque dans nos regrets de ce qui s’efface, du froid de canard aux mauvaises odeurs en passant par le plaisir léger de l’ennui.

Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.