Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.

Matador

Matador

Bernard Pellegrin

Roman

Polar

prix :

$10.00

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Nombre de pages :

306

Format :

133 x 203 mm

5,6

h

de lecture

ISBN :

978-2-85071-098-8

epub :

978-2-85071-099-5

mobi/awz3 :

978-2-85071-100-8

Papier
Numérique

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« Gladys avait été retrouvée en tête de gondole du rayon Nouveaux produits. Elle n’était pas apeurante car elle avait été finement découpée, le cou tranché avec précision selon d’invisibles pointillés. Le visage de la jeune femme, bien qu’un peu bleuté, était joliment maquillé et le retraité qui la découvrit ne fut pas du tout effrayé.

— J’ai été surpris, dit-il à Loison, je ne m’attendais pas à rencontrer quelqu’un sur ce rayon. Une tête, je veux dire.

Gladys faisait belle figure entre une purée microbiote, qui espérait capitaliser sur un récent succès de librairie consacré à l’intelligence intestinale, et les confitures d’une cheffe triplement étoilée. »

Écrit par Bernard Pellegrin.

Photo couverture : © TonStocker – stock.adobe.com.

Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.