Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.

La mariée est descendue de la Porsche Cayenne

La mariée est descendue de la Porsche Cayenne

Bernard Pellegrin

Chroniques

prix :

€9,00

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Nombre de pages :

186

Format :

120 x 190 mm

2

h

de lecture

ISBN :

978-2-85071-210-4

epub :

978-2-85071-211-1

mobi/awz3 :

978-2-85071-212-8

Papier
Numérique

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Il est des lieux d’Europe qui semblent plus éloignés que les îles sous le vent et les terres australes. Bien sûr la tragédie ukrainienne les a rapprochés de nous, mais malgré tout qui sait ici ce qui se passe là-bas ? Dans la rue principale d’Ungheni, petite ville provinciale de Moldavie, sur le port de Sarandë, Albanie, au marché de Tiraspol, Transnistrie, ou sur le banc du village de Pandanassa, en Laconie.
Quelques nouvelles pour donner des nouvelles de pays souvent oubliés ou confondus. Non la Moldavie n’est pas la Syldavie de Tintin, oui l’Albanie a une grande histoire, non la Laconie n’a pas disparu après la défaite de Sparte.

Photo couverture : © Juri Gianfrancesco, unsplash.com

Bernard Pellegrin

Bernard Pellegrin, journaliste indépendant, est fier d’appartenir à cette génération qui, de mai 1968 à aujourd’hui, s’est voulue en charge du monde. Mais désolé aussi qu’elle ait pris tant de place, se soit reniée si souvent, ait toujours présenté ses accommodements comme l’exercice de son libre-arbitre.

Force est de constater que le mois de mai a dessiné bien des méandres en parcourant le demi-siècle écoulé. Du jaillissement de ses eaux vives aux sables des deltas. Sans certitude d’y laisser, au mieux, l’empreinte d’un ou deux pas.

Printemps fragile est son troisième livre, Matador son quatrième.